L’orgasme au féminin représente un challenge difficilement atteint, surtout en couple. Pour faire jouir une femme, il faut beaucoup d’éléments. Le temps passé à l’intérieur de son vagin ne suffit pas. Il faut aussi de la tendresse, de la confiance, bref beaucoup de techniques. Or, faire atteindre l’orgasme à une femme est source d’orgueil et de fierté pour un homme. Dans un couple, l’absence d’orgasme peut même devenir le sujet de dispute, car l’homme se sent blessé dans sa virilité et attaque le premier. Alors, pour éviter tout conflit inutile, la femme a invoqué un stratagème pour faire croire qu’elle est au septième ciel, elle simule.

Comment bien simuler ?

D’abord, par respect de l’éthique, il importe de souligner que la simulation n’est pas une solution pour garder un homme. La simulation ne doit être utilisée qu’à de rares occasions, et non pour cacher ou ignorer un problème réel dans le couple. Mais si on sent que son partenaire veut nous faire jouir, mais que nous n’y arrivons pas, exceptionnellement, on peut simuler pour ne pas le blesser. Alors, pour celles qui ont déjà eu un orgasme, il suffit de faire pareil, quoiqu’on ne s’en souvient pas forcément. L’orgasme est une sensation puissante, il faut donc avoir des réactions puissantes. Pousser des cris rauques qui viennent de la gorge, rien de très étudié par contre. On peut agripper le drap ou son partenaire. L’orgasme peut être simulé en amont. C’est-à-dire, pendant l’acte, après un temps suffisamment long, la femme commence à pousser des halètements pour marquer la montée du plaisir, avant de crier !

Comment simuler sans se faire prendre ?

Une simulation réussie est une simulation non détectée. Attention aux pièges donc. Pensez à accorder les cris aux caresses du partenaire. Les jours de fête, n’en faites pas trop, cela risque de lui mettre la puce à l’oreille. Il faut aussi penser à demander au partenaire de ralentir, car l’orgasme est une explosion de sensations, et quand on l’atteint pour de vrai, on est épuisé physiquement. En fait, de tout ceci, on peut retenir que simuler demande plus d’efforts que le fait de simplement se laisser porter par le moment et l’apprécier à sa juste valeur.